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 [Tsukiko]

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MessageSujet: [Tsukiko]   [Tsukiko] EmptyMar 8 Avr - 21:28



Nom de scène : Tsukiko

Nom : Akabara

Prénom : Tsukiko

Sexe : Féminin

Age : 22 ans

Fonction : Guitariste dans le groupe Suicide in bloom

Inspiré de... : Nana Kitade

Style visuel : Industrial lolita, elegant gothic lolita

Style musical : Visual kei, hardrock, Metal

Histoire : Tsukiko est née au Japon un soir de pleine lune d'où son prénom Tsukiko qui signifie "enfant de la lune" . Comment ne pas prédire un avenir aussi beau que son prénom ? Sa vie en fut la preuve même... Tsukiko naquit donc de l'amour d'une Japonaise et d'un Japonais. Leur amour était intense mais la mère de Tsukiko trompait son mari. Tsukiko était au courant mais elle avait garder ce secret que sa mère lui interdisait de répéter à son père. Ils divorcèrent donc. Et là ce fut le début du cauchemar. Après treize ans de vie commune ils se "partagèrent" la garde de leur deux enfants : Tsukiko âgée de 6 ans et Hiro son frère âgé de 3 ans.
Tsukiko fut inconsolable : Comment dire à une fillette de 6 ans que ce n'est pas de sa faute si ses parents sont divorcés et que même si elle avait dit à son père que sa femme le trompait ils se seraient quand même séparés ? La mère de Tsukiko alla donc avec son amant.
En apparence c'était un homme charmant tel un ange mais ce n'était qu'un masque pour ne pas dévoiler son intérieur de démon. La première année ne se passa pas bien. Puis, avec le temps, il montra sa véritable nature : un être violent et hypocrite. Au début c'était les assiettes que le beau père de Tsukiko cassait lorsqu'il était en crise mais par la suite c'était les os qu'il voulait briser.. Les os d'un être humain, ce désir de vouloir briser et casser entre ces mains une femme sans défense telle une poupée à jeter. Si bien que les violences verbales furent remplacées par les violences physiques.. Les injures n'étaient plus psychologiques mais physiques. Les mots étaient remplacés par les coups... Il fit alors du chantage à la mère de Tsukiko : Si elle lui faisait un enfant il changerait. Evidemment comme elle était naïve et cependant amoureuse de cet être impitoyable elle accepta. Neuf mois plus tard un petit être gringalet vit le jour. Au début le beau père de Tsuki' avait tenue sa promesse mais plus les mois passaient et plus son instinct de démon repris le dessus. Le calvaire recommença et pire encore. Les années passèrent et "faux couple heureux" connaissait son rôle par coeur : Jouer le couple amoureux et heureux c'était tellement un jeu facile pour cet homme qui devait juste faire de jolis sourires et dire de belles paroles pour ensuite passer pour un compagnon exemplaire et adorable.
Cette mascarade dura. Tsukiko était quant à elle aussi violentée verbalement puis physiquement. Très vite sa vie devint un cauchemar qui ne s'arrêtait pas. Se rendant compte que sa vie était "noire" elle commença à s'habiller avec des vêtements sombres noirs et devint en quelque sorte gothique. Depuis cette période noire elle sombra peu à peu. "Dans ces ténèbres qui me poignardent et me crèvent les yeux je n'arrive plus rien à voir. La lumière de lune m'éclaire d'un rayon noir. Je sombre dans le désespoir..." Ce sont les phrases venant d'un poème de Tsukiko qui furent retrouvés entre ces mains ensanglantées lorsque la mère de Tsukiko la retrouva un matin les veines ouvertes et gisant par terre. Tsukiko fut alors transportée aux urgences où elle fut en quelque sorte sauvée de son agonie enfin c’est ce que les médecins pensaient. Ce tragique événement ne changea rien car la mère de Tsukiko n’osait mettre à la porte son conjoint de peur de représailles. Mais un cadeau du ciel lui donna en quelque sorte de nouveau goût à la vie. En effet pour ses 12 ans elle reçue comme cadeau une guitare électrique. Jouer de la guitare avait toujours été un rêve pour elle et là il se réalisait enfin. Depuis ce merveilleux jour elle restait cloîtrée dans sa chambre en jouant de guitare. Elle avait enfin trouver une raison d’être.. SA raison d’être. En jouant de la guitare elle se sentait apaisée, elle n’entendait plus les injures de son beau-père qui rentrait ivre du boulot ni les gémissements de sa mère qui pleurait seule dans sa chambre. Elle était dans un monde, son monde. Mais hélas la dure réalité prit vite le dessus et lui fit rouvrirent les yeux sur sa pitoyable vie. La mutilation ne lui faisait plus mal elle voulait aussi avoir mal de l’intérieur. Tsukiko sombra donc dans la drogue et devint elle commença à devenir accro à la métamphétamine. Tsukiko n’en voulait pas à sa mère de ne pouvoir rien faire mais elle écrivait dans ces poèmes : « Mère le fait de m’avoir enfanter t’as t-il autant fais mal que la souffrance que tu caches lorsque tu fais semblant de me sourire en me disant que tu vas bien ? Maman, c’est toi qui m’a donner la vie mais c’est moi qui vais me la retirer donc rends moi ce service : Mère, suicide-moi …» Elle étudia le français qui était une longue qu’elle aimait beaucoup et rencontra par la suite une jeune français qui venait faire ses études au Japon et dont elle tomba amoureuse. Tout les deux vécurent une très belle histoire d’amour et il la força à arrêter de se droguer, ce qu’elle fit par amour. Le destin semblait ne plus s’acharner sur elle, enfin c’est ce qu’elle pensait. Bien évidemment tout rêve à une fin et ses parents découvrirent cette liaison, le beau père de Tsukiko ne se priva pas pour humilier publiquement le jeune homme. Elle le voyait de moins en moins car il faisait des allers et retours Japon-France. Il retourna alors en France et un an après son départ ils se séparèrent, ou plutôt il la plaqua. Il lui donna comme explication la distance qui les séparait mais la vérité était que cet amour était impossible depuis le début. La raison était aussi qu’il savait bien que la beau père de Tsukiko était un monstre même si elle lui cachait ce qu’elle subissait et il ne pouvait plus supporter l’idée qu’il ne pouvait rien faire pour la sauver. Elle sombra de nouveau dans ce désespoir même si elle n’en était réellement jamais vraiment sortie. La vie semblait décidement prendre un malin plaisir à s’acharner sur elle. Tsukiko devenait de plus en plus renfermée, elle passait ses journée entière à rester enfermée dans sa chambre à jouer de la guitare. C’était sa seule raison d’exister à présent.. Elle accompagna ensuite sa guitare en chantant. Elle se mit alors à composer des paroles qui étaient d’abord des poèmes « Ecrire pour ne pas hurler. Rêver pour ne pas sombrer. Chanter pour ne pas pleurer. Jouer pour ne pas mourir sans avoir eu de raison d’exister… » Au lycée les études se passaient mal, elle séchait les cours pour jouer à la gratte. De plus elle avait de grands problème d’intégration et n’avait donc pas beaucoup d’amis. Sa meilleure amie était sa guitare électrique et son meilleur ami étai son iPod c’est ce qu’elle disait lorsque des gens lui demandaient quel était le fruit de son mutisme. Très vite en plus d’être dépressive, droguée, suicidaire elle devint en quelque sorte autiste. Son unique monde était la musique. Elle ne vivait que pour ça : jouer de la guitare, il ne lui restait que ça. Et si elle ne jouait pas et bien elle avait des journées entières son iPod sur les oreilles, ainsi elle restait enfermée dans sa bulle. Tsukiko écrivait toujours des paroles pour ces poèmes : « Petit frère est seul dans sa chambre, sa grande sœur préfère la compagnie de sa guitare plutôt que la sienne. Petit frère ne communique plus, sa grande sœur préfère écouter sa musique au lieu de parler avec lui. Petit frère, tu as une sœur bien pitoyable n’est-ce pas ? Et le pire c’est que cette grande sœur c’est moi… » La zizanie règnait toujours chez elle avec ce beau-père qui cassait tout dans la maison sur un coup de colère où bien qui tabassait sa conjointe si elle lui disait un truc qui ne lui plaisait pas. Avec ses écouteurs sur les oreilles et du visual kei à fond elle n’entendait pas les objets balancés par son beau-père qui se fracassaient sur le sol, ni la voix de celui ci qui riait en voyant le désastre qu’il avait fait, ni les pleurs de sa mère qui le suppliait d’arrêter de la frapper. Tsukiko faisait que des nuits blanches et ne trouvait jamais le sommeil « Les yeux rouges à force d’avoir passer des nuits complètes à pleurer. Les yeux cernés à cause des nuits blanches accumulées. » Un beau jour en rentrant chez elle, elle découvrit que sa guitare avait disparue : son beau père ricanait et lui avoua qu’il l’avait jeter dans la décharge. S’en était trop il avait aussi revendu son iPod. Tsukiko ne pouvait plus retenir sa tristesse. Même si elle avait encore eu sa guitare elle était persuadée que ça n’aurait rien changer à sa misérable vie. Cette fois ci elle ne voulait pas se « louper ». Elle prit alors grand soin de n’éveiller aucun soupçon et s’enferma à double clés dans sa chambre et commença à s’ouvrir les veines avec une épine de rose. Le long de ses bras gelés elle pouvait cette chaleur du sang qui coulait tout le long. Elle prit alors une dose plus grande de drogue et attendit la fin.. Sa fin.. Tsukiko savait très bien que la perte de sang ne la tuerais pas c’est donc pour cette raison qu’elle avait choisit que ce serai la drogue qui allait l’achever. C’est sa mère qui inquiète de la trop longue absence de sa fille dans sa chambre qui alla chercher le voisin pour qu’il défonce la porte. Là elle retrouva Tsukiko par terre inconsciente, le fond des yeux blancs, les veines ouvertes, une rose noire dans sa main. Les épines de la rose étaient encore incrustées dans sa chair. Dans l’autre main de Tsukiko elle serrait un morceau de papier ensanglanté sur lequel était écrit : « Je ferais que le bourgeon d’un suicide semble une fleur ». La dernière phrase que Tsukiko aura écrite ainsi que son dernier poème. Le plus beau de ces poèmes mais le plus triste aussi. Sa mère pleura toute les larmes de son corps devant le corps sans vie de celle a qui elle avait donner la vie. Tsukiko fut immédiatement transportée à l’hôpital. Son état était critique. L’overdose l’avait plongée dans un coma. Les médecins dirent à sa mère que le taux de chance qu’un jour elle se réveille était de moins de 5 % . Les mois passèrent et Tsukiko était toujours dans le coma. Chaque jour sa mère venait la voir dans l’espoir qu’elle se réveille, mais hélas non. 7 mois passèrent et Tsukiko sortie miraculeusement du coma. Les médecins n’en revenaient pas. Qui était donc cette jeune fille revenue d’entre les morts ? Etais-ce sa rage de vaincre qui l’avait sauvée ? Personne ne sut la réponse mais une chose était sûre pour Tsukiko : Désormais elle était majeure, les 7 mois de son coma l’avait emmenés jusqu’à sa majorité. Sa liberté à elle..
Le beau père de Tsukiko avait cacher sa guitare électrique et elle la retrouve ainsi que son iPod. Après des séances de réeducation elle partie de l’hôpital. Elle arrêta donc les cours et partie loin de son passé. Elle savait qu’elle ne pourrait jamais oublier son passé mais elle voulait partir loin de lui en tout cas. Elle prit ses économies et commença sa carrière de guitariste solo dans la rue et dormait à l’hôtel. Les revenus n’étaient pas suffisants et elle créa un groupe de rock qui dura environ 4 ans mais qui se sépara car le bassiste partit ainsi que le chanteur. Agée alors de 22 ans elle vit une annonce de musiciens qui cherchaient un(e) (guitariste. Ce groupe s’appellait « Suicide in bloom ». Directement Tsukiko crut a un signe du destin. Ce nom du groupe lui fit repenser à sa tentative qui aurait put être la dernière puis à la phrase de son poème, ce groupe était un signe.. Elle devait absolument en faire partie. Elle contacta donc le leader. Le bourgeon du suicide a finalement reussi à bourgeonner en une rose de lune…



Physique : Tsukiko est de taille moyenne. Elle a une fine silhouette mince.
En plus de ça elle possède de longs cheveux parfaitement lisses qui sont rouges cuivrés ou noirs selon la coloration qu’elle à fait. Ses cheveux sont toujours lisses mais en temps pluvieux ils frisent. Tsukiko a des yeux noirs ébènes parfaitement dessinés. Tsuki’ est dotée de longues jambes fines de mannequin.
Sa démarche est sûre et son allure est légère et fluide.
Elle a un regard perçant et cependant extrêmement glacial. Tsukiko a de fins doigts toujours froids. Elle mesure environ 1 mètre 67 ce qui est une taille convenable. Tsukiko s'habille dans le style elegant lolita ou bien gothic lolita et donc elle porte souvent des robes ou des jupes à carreaux etc. Ses ongles sont toujours vernis en noir.


Caractère : Tsukiko ne parle pas beaucoup et est quelqu’un d’assez renfermée. C’est une grande poète qui a beaucoup d’imagination et donc elle s’abandonne vite à la rêverie. En plus d'être rêveuse elle est sensible. Tsukiko est une fonceuse qui réfléchit quand même avant de partir au quart de tour. Elle est aussi quelquefois autoritaire et orgueilleuse. Tsuki' peut se montrer gentille avec ceux en qui elle a confiance mais c'est est une solitaire qui s'ouvre difficilement au autre. La jeune demoiselle préfère observer plutôt qu'agir car c'est une grande observatrice. Elle est également sadique et a parfois des pulsions assez étranges. De loin elle peut paraître froide mais au fond c’est juste une impression car au fond c’est quelqu’un de sensible et sympathique. Il faut la connaître pour la juger car les apparences sont trompeuses

Goûts/Passions : Tsukiko raffole de chocolat, elle mange environ une tablette de chocolat par jour. Elle aime les nuits de pleine lune et vis en quelque sorte la nuit car elle est insomniaque. Sa plus grande passion est la musique et surtout jouer de la guitare. Elle aime beaucoup écrire et elle est donc passionnée par la poésie. Elle aime aussi dessiner et n’a pas un talent mauvais. De plus elle est attirée par les choses françaises ainsi que sa culture. Tsukiko aime la mode industrial lolita et gothic lolita et d’ailleurs elle ne porte que ça. Les sciences occultes la passionnent mais ce n'est pas pour autant qu'elle est satanique.

Petit plus : //
(facultatif)

Animal de compagnie : Non


Dernière édition par Tsukiko le Jeu 10 Avr - 13:34, édité 6 fois
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